Un air de mer pour nous chevaux des terres

Un air de mer,
Pour nos chevaux des terres,
Sur les sables mouvants,
Nous marchons au pas sous les vents.

Le Mont Saint-Michel s’éloigne,
Par la baie, le calme règne.
Eaux salées et coquillages de Saint-Malo,
Éveillent l’attention de nos chevaux.

À chaque halte, une petite caresse,
Valse et Unisson sont les rois en matière de tendresse.
Du haut de leur 14 et 15 ans,
Ils réalisent leur premier long voyage comme itinérants.

De notre côté, nous nous préoccupons de les rassasier,
À chaque soir sa quête d’un abreuvoir,
D’un carré de pelouse à brouter,
Pour les combler et les amener à marcher.

D’Hirel à la Cravache,
De Saint-Malo au pré de Thierry et Catherine,
Les uns les autres,
Nous aident dans cette pérégrination.

Quand mon amour pour le voyage est toujours plus grandissant,
Moi le novice cavalier, je suis parti, j’ai tenté,
D’explorer une nouvelle facette de l’humanité,
Celle qui lie l’homme et le cheval,
D’une connexion magistrale.

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