La Manche, la Suisse Normande et les plages du débarquement

Le long de la Vire éclosent les fleurs de cambrousse,
Couine mon vélo sous le bruit des pédales,
Scintillent les effluves d’herbe coupée sous le chant magistral
Des oiseaux de mer, à l’affût des poissons d’eau douce.

Saint-Lô, et ses remparts d’antan, rappelle à nos enfants,
Tous les hommes sacrifiés pour des vies de liberté.
Errer ici à vélo, c’est le cadeau des combattants du débarquement,
Notre devoir de mémoire est de nous en rappeler.

Puissent les jours être une matinée éternelle,
Et la vie un Dimanche infini,
Où l’amour comme quête universelle,
Soit la religion de toute mère patrie.

Ô chère terre, belle planète bleue,
Pardonne nos erreurs, notre sur-consommation,
Préserve notre avenir, soit miséricordieuse,
Pour les êtres du futur, un monde sans pollution.

Intempéries de l’été crient son désespoir,
Mouvements sociaux hurlent son espoir,
Que demain, tous, main dans la main,
Nous changions notre quotidien pour préserver le genre humain.

Passé Ouistreham, de l’autre côté de l’Orne,
Maisons à colombages et grandes baies maritimes,
Font respirer Cabourg et Deauville, cités siégés par l’Homme,
Quand Honfleur nous ouvre la voie de la Seine-Maritime.

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